Depuis maintenant un an de cela, notre vie est rythmée au jour le jour par une maladie qui est apparue dans la ville de Wuhan, dans le centre de la Chine, dans les environs de décembre voir novembre 2019.

Une maladie qui s’est alors rapidement propagée dans la ville et les environs avant que le ministre de la santé chinois ne se rende compte de l’ampleur de l’épidémie dans son pays et surtout certaines villes;
Il a alors été mis en place un confinement strict avec l’interdiction de sortir de certains périmètres balisés pour tenter d’endiguer l’épidémie à sa source. Une stratégie qui s’est révélée efficace à un niveau local.
Après deux mois de confinement Wuhan pouvait ainsi sortir de celui-ci et ne comptait plus au quasiment plus de contaminations. Mais ce n’était pas le cas du reste du monde pendant ce temps là.
En effet, avant ce confinement strict mis en place par la Chine dans certaines de ces régions, le virus était déjà sorti du pays et avait infecté de plus en plus de personnes à l’étranger à mesure que les jours avancent.
Une mauvaise idée pour elle
Du côté de la France, c’est à mi-février que les choses ont commencé à vraiment partir en vrille avec d’importants cas qui ont poussé le gouvernement a choisi la solution du confinement en début mars.
Puis après une période estivale calme, l’épidémie a repris de plus belle et fin octobre, nous avons le droit à un deuxième confinement qui s’est arrêté aux fêtes, malgré qu’un couvre-feu à 20h soit toujours présent.
Mais devant un nouveau rebond des cas, ce couvre-feu a été avancé à 18h, pour des résultats qui ne semblent clairement pas satisfaisants. D’ailleurs, selon Ségolène Royale sur Twitter il y a quelques jours, c’est tout à fait normal.
Pour qu’elle mette le couvre-feu juste à la fin des horaires de travail, c’est créer des densités de population à ce moment-là de la journée, des conditions parfaites pour la propagation du virus dans la population.